Brigitte Fontaine et les Musiques à ouïr, soirées régalantes

imageInvitation à une répétition jeudi dernier à 19h. Emballés par le groupe et la « Reine des kékés » de si longue compagnie, nous prenons illico deux places pour le pestacle samedi soir. Et là, même magie malgré ou peut-être avec la grâce fragile de la libellule vieillissante et trébuchante mais à la présence toujours aussi forte. Et les Musiques à ouïr, magiciens faiseurs d’ambiances avec :

  • Chant :  Loïc LANTOINE, Orianne LACAILLE.
    Denis CHAROLLES : Percutterie, guitare, chant
  • Aurélie SARAF : Harpe
  • Julien EIL : Clarinette basse, saxophone baryton, flûte traversière
    Claude DELRIEU : Accordéon, guitare, chant
  • Alexandre AUTHELAIN : Saxophone, clarinette
Sur le site du théâtre : « Dans une orchestration originale, Brigitte Fontaine et les Musiques à Ouïr revisitent le répertoire de « la reine des kékés ». Avec toute l’inventivité et la fougue qui les caractérisent, ils explorent un univers foisonnant, qui laisse la part belle au métissage et à l’écriture aussi classique que baroque.
Elle est l’une des plus grandes poétesses de la chanson francophone. Sa voix et son écriture sont reconnaissables entre mille. Accompagnée par la joyeuse troupe des Musiques à Ouïr, par Loïc Lantoine et Orianne Lacaille, cette souveraine de la scène nous invite, sous la direction de Denis Charolles, à explorer son répertoire fou et sophistiqué.
Le spectacle rassemble ses plus grands succès de Comme à la radio ! à Cet enfant que je t’avais fait, en passant par La Symphonie pastorale et Ah que la vie est belle. Les nouvelles orchestrations des Musiques à Ouïr font entendre toutes ses influences, comme le free jazz, la musique orientale ou la nouvelle vague new-yorkaise. Mais aussi la puissance de ses textes qui se jouent des codes et qui puisent leur inspiration dans les plus belles pages de la littérature française (Rimbaud, Verlaine…) et de la poésie orientale (Mahmoud Darwich).
Avec Ô Brigitte !, les Musiques à Ouïr réussissent ce voyage dans la délicatesse et la justesse d’une écriture et dans la douce folie, la tendresse, l’insolence de cette grande dame de la chanson française. »

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