La chronique de l’attachat de presse – 4 mars 2010

Touareg, reporterDeuxième topo : les vacances scolaires. J’ai eu de la visite pendant ces vacances et me suis fait papouiller (je commence à aimer ça) par quatre petites mains et je ne vous dis pas, le 14 il devait y en avoir 14 (petites mains), je n’aurai plus un poil en paix… (Heureusement que le 15 il n’y en aura pas 15, ça me poserait un insurmontable problème de calcul.)

Donc, vacances.  Quand il y a du monde, version grands, ça dort en bas, à mon étage. J’ai parfaitement compris le truc et je me cale tôt le matin derrière ma porte et je brame comme un veau jusqu’à ce que quelqu’un craque et m’ouvre. Là, je galope le plus bruyamment possible de bas en haut de la maison : je te fais l’étage 1 – escalier en bois, ça résonne un max, ça me plaît un max. Second étage, re escalier en bois. Quand je suis en haut, je redescends à la vitesse du son en faisant un max de boucan, ça me plaît un max. Si je croise la cheffe, ça barde, genre « a va pas la tête, tu vas nous réveiller la petite classe !!! » mais je m’en tamponne le coquillard de chat vu que je n’attends que ça, qu’ils se réveillent, pour me glisser mine de rien sous une couette (interdit d’ordinaire les couettes, interdit). Je n’ai pas encore essayé celle du lit d’en haut parce que j’ai la pétoche mais ça va venir. Ensuite, je me pose sur mon canapé et j’assiste, magnanime, au déploiement des jouets divers et variés qu’abrite l’étage. Sans parler des bouquins. Le soir on a droit à une histoire, j’adore. Les dessins animés aussi j’aime bien. Pas le bain. Ca me rappelle l’été dernier, ils étaient tous là et faisaient un bruit infernal dans la piscine que Claude avait eu la mauvaise idée de prêter. Un vacarme ! Ils avaient l’air d’aimer ça, la flotte. Pas moi.

Parfois je bosse cinq minutes dans le bureau de la cheffe, je surveille ce qu’elle tapote tout en jetant un coup d’oeil  par la fenêtre aux trois emplumées d’en face (nous sommes de garde pendant les vacances). Sur la photo elles avalent des coquillettes. Ironie des mots…)

Les 3 copines

De plus ils m’ont installé la télé, sauf que je n’ai pas le droit de poser les fesses tout contre et d’essayer de voir d’une griffe pourtant délicate ce qui bouge là-dedans. J’en ai ras la coucourde de n’avoir aucun droit. Fargus chats, liguons-nous contre le patronat !

Mon poste de télévision

Un commentaire sur “La chronique de l’attachat de presse – 4 mars 2010

  1. un peu tard pour mettre un com en terre…. mais voilà que cet animal d’ordi est enfin Ok pour envoyer les messages et bafouilles …..
    Tu nous fais bien marrer Monsieur « lattachat de presse », on voit que tu es à bonne école !! A bientôt « mon minet »…

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